Le calvaire continue pour Luis Henrique. Transféré cet été de l'OM à l'Inter Milan pour 25 millions d'euros, le Brésilien vit un cauchemar en Italie. Dimanche, lors de la victoire contre Pise (2-0), le piston droit a subi un massacre médiatique orchestré par La Gazzetta dello Sport.
« Il continue de tergiverser, zero dribble. Il ne passe pas son vis-à-vis, peut-être qu'il n'arriverait même pas à dribbler un éléphant sous anesthésie. Il a peur de rater », peut-on lire dans le quotidien milanais. Une sortie aussi rare que violente.
Titulaire pour la première fois depuis un mois, Luis Henrique déçoit à chaque apparition. Depuis son arrivée en Lombardie, le constat est alarmant : 10 matchs toutes compétitions, aucun but, aucune passe décisive. En Serie A, seulement 278 minutes disputées. Un bilan catastrophique pour un joueur censé créer de la percussion sur son côté.
La presse italienne ne lui fait aucun cadeau. « C'est un boulet », titrait déjà La Gazzetta en novembre. Tuttosport pointait ses limites tactiques dans le rôle de piston. Même Roberto De Zerbi, son ancien coach à l'OM, rappelait qu'il jouait parfois « en pantoufles ».
L'Inter réfléchirait déjà à un départ dès cet hiver. Son entourage l'aurait proposé à Monaco, Lyon et même l'OM. Trois mois après son transfert, le rêve italien vire au fiasco total.
« Il continue de tergiverser, zero dribble. Il ne passe pas son vis-à-vis, peut-être qu'il n'arriverait même pas à dribbler un éléphant sous anesthésie. Il a peur de rater », peut-on lire dans le quotidien milanais. Une sortie aussi rare que violente.
Titulaire pour la première fois depuis un mois, Luis Henrique déçoit à chaque apparition. Depuis son arrivée en Lombardie, le constat est alarmant : 10 matchs toutes compétitions, aucun but, aucune passe décisive. En Serie A, seulement 278 minutes disputées. Un bilan catastrophique pour un joueur censé créer de la percussion sur son côté.
La presse italienne ne lui fait aucun cadeau. « C'est un boulet », titrait déjà La Gazzetta en novembre. Tuttosport pointait ses limites tactiques dans le rôle de piston. Même Roberto De Zerbi, son ancien coach à l'OM, rappelait qu'il jouait parfois « en pantoufles ».
L'Inter réfléchirait déjà à un départ dès cet hiver. Son entourage l'aurait proposé à Monaco, Lyon et même l'OM. Trois mois après son transfert, le rêve italien vire au fiasco total.






